Introduction aux technologies de la conscience

Ce que nous allons voir en pratique, ce sont des outils, de simples techniques, qui ont pourtant une portée qui embrasse toute la vie humaine.

Ces techniques utilisent le fondement de la vie, de notre vie, la conscience et deux autres éléments, une commande celle de l’esprit, qui déclenche une intention, et un moteur, celui du cœur, avec le langage de l’émotion.

Avec ces trois éléments, nous allons nous extraire des normes habituelles pour travailler en amont de la vie, là où il n’y a rien (la conscience) et où tout est possible (la conscience est à l'origine de tout).

Tout est possible ou presque, parce qu’il y a des contraintes, celles de la réalité ordinaire, celles du monde physique et du rationnel.

Il n’est pas question de marcher sur l’eau ou de changer le plomb en or.

Toutefois il y a de la vie au-delà de la matière et il n’y a pas de matière dans la vie ni de vie dans la matière.

Parce que toute notre vie se trouve uniquement et strictement dans la conscience.

Il n’y a rien qui existe hors de la conscience.

Et en toute logique, c’est donc là que se passe la vie, vers là qu’il faut se tourner pour être au plus proche des commandes ou même de LA commande de la vie.

C’est ce que nous confirment des scientifiques d’avant-garde.

 La conscience n’est autre que le champ de la matrice universelle qui contient toutes les informations de la vie et de l’univers, présent, passé et futur.

C’est à partir de ces informations que la création prend son existence.

Les technologies de la conscience dont nous allons parler, et que tout le monde peut mettre facilement en œuvre, sont un des moyens à disposition pour vérifier et constater par nous-mêmes la véracité de telles conclusions scientifiques.

La conscience n’est pas un sous-produit de la matière, c’est la matière qui est dépendante de la conscience.

Le corolaire qui nous intéresse vivement ici, c’est qu’étant doté nous-même de conscience, d’une partie de cette conscience universelle, nous avons accès à toutes les possibilités.

C’est encore que mieux que d’avoir accès, nous faisons partie intégrante de la conscience universelle.

La conscience est notre milieu naturel; c’est notre substance.

Nous sommes faits de conscience.

A cette richesse infinie de la conscience répond la richesse de la création.

Le hasard n’a pas sa place dans la sophistication du vivant ni même pour le règne végétal ou minéral.

Le cerveau possède une infinité de connexions dont nous n’utilisons qu’une petite partie.

Il n’est pas besoin d’en utiliser la totalité pour améliorer significativement notre vie ou d’avoir plus de force, plus de pouvoir, plus de puissance, plus de plaisir dans notre vie.

Avec les technologies de la conscience on apprend à se servir différemment de notre cerveau pour faire jaillir de nouvelles possibilités.

De cette façon, on obtient des résultats différents, c’est-à-dire supérieurs, et qui vont souvent au-delà des attentes y compris au-delà des possibilités imaginables.

Des solutions nouvelles apparaissent, des voies nouvelles s’ouvrent parfois après une vie entière restée face à un mur.

Les utilisations concernent tous les domaines puisqu’ils figurent tous dans la conscience.

La forme, la santé, la performance, la vie personnelle, relationnelle, familiale, professionnelle ou tout autre sujet.

Tout est baigné dans la conscience, issu de la conscience, vivant dans la conscience et tout est relié car le tout ne provient que de cette seule unité, la conscience.

Notre esprit, notre mental est comme une petite bulle qui s’est détachée de la conscience et joue sa partition nommée la vie humaine.

Au-delà de la vie animale, nous avons cette particularité d’être un être conscient de lui-même et c’est ce petit avantage qui nous permet de créer au-delà de l’instinct avec ce pouvoir qui est la volonté.

La volonté se traduit dans la réalité à travers l’intention qui est alors créatrice.

L’intention est une force en elle-même et chacun peut le constater en particulier lors de formations.

Le sujet peut réagir avant même que l’opérateur ait entrepris quoi que ce soit d’autre que de porter une intention à propos de sa demande.

Nous, êtres humains, tout grands, nous sommes tout petits ou rien du tout, perdus dans l’immensité infinie de la conscience, perdus à chercher l’amour, à vouloir être grands, à vouloir exister, à vouloir démontrer que nous ne sommes pas rien.

C’est alors l’ego, notre ego, qui nous mène du bout du nez quand nous nous battons pour défendre le personnage qu’il a créé et que nous tenons obstinément à bout de bras en tentant de le vendre aux autres comme à nous-même.

Nous tout petits dans l’ego, nous sommes aussi immenses que l'est la conscience car même isolés par notre ego, nous sommes une partie de l’infini, c’est-à-dire que nous sommes l’infini lui-même.

A nous de nous connecter à cette partie de notre être qui est notre véritable nature.

Connectés à la conscience, notre conscience, à la conscience entière, la conscience universelle, nous récupérons notre pouvoir légitime de création en l’utilisant cette fois, non pas de façon inconsciente comme durant quatre-vingt-quinze pour cent de notre vie, mais de façon ciblée et délibérée pour vivre nos aspirations profondes libérées de la pression extérieure.

Nous sommes tout le temps en train de chercher le bien-être à l’extérieur, en cherchant à établir des conditions favorables alors que le bien-être vient avant tout de l’intérieur de notre être, de notre source de vie, la conscience.